Se connecterLes « deuxièmes vies » des matériels de laboratoire
En panne, obsolètes, déclassés, pas assez productifs, fermetures de site... autant de situations où les entreprises doivent trouver une solution pour se séparer des équipements dont elles n'ont plus l'utilité. À l'heure du recyclage et de la valorisation, jeter n'est plus la bonne option. Aussi, le marché de l'occasion et de la récupération se structure et se développe.
Rien ne se perd dans l'atelier de réparation de Cap-Lab : (presque) tous les équipements et leurs composants trouveront une voie de récupération, reconditionnement ou dépeçage.
Cap-LabDepuis toujours le matériel déclassé ou devenu obsolète pour l'un peut convenir à quelqu'un d'autre. Cette économie circulaire a toujours existé et s'est mise en place assez naturellement. Jean-Jacques Dussart, directeur du développement et de l'innovation de LBI, témoigne de l'utilisation des trois voies classiques du marché de l'occasion. « Sur notre site Intranet affiliés, nous avons la possibilité de proposer des offres de matériels en "recyclage interne" réseau. Il nous arrive également, lors d'évolution ou de changement d'instruments dans nos structures, de pouvoir soutenir des associations en leur offrant les instruments remplacés ; ces dons offrent une seconde vie aux automates et un soutien apprécié des associations. Enfin, il peut également nous arriver, ponctuellement, de recevoir des propositions d'instruments totalement reconditionnés et remis à neuf de la part de certains fournisseurs. »
Qu'y a-t-il de neuf aujourd'hui ?
Les...
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