Un tiers des LBM sans DPO
Alors que les données de 500 000 patients provenant de laboratoires de biologie médicale (LBM) ont été divulguées sur internet en février dernier, 36 % d'entre eux n'ont pas encore nommé de DPO (Data Privacy Officer) pourtant obligatoire depuis 2018 et l'entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (RGPD). Ce dernier définit les données de santé comme sensibles sans aucune ambiguïté. L'année dernière à la même période, près de la moitié des LBM n'avaient pas encore nommé de DPO (lire Biologiste infos n°104, p. 49). Tour d'horizon de l'avancée des LBM privés vis-à-vis de cette obligation.
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