Comment l'INS va s'imposer dans le quotidien des biologistes
L'obligation d'utiliser l'Identité nationale de santé (INS) pour référencer les données de santé est entrée en vigueur le 1er janvier. Pour les biologistes médicaux, ce nouvel outil d'identitovigilance aura un impact, tant sur la partie pré-analytique que sur le partage des résultats.
« Bien identifié·e, bien soigné·e. » Tel est le slogan de l'identifiant national de santé... ou plutôt, de l'Identité nationale de santé (INS), puisque c'est ainsi qu'elle a été rebaptisée en avril par l'Agence du numérique en santé (ANS). « Il est préférable de parler d'identité car l'INS se base sur cinq traits d'identité (nom de naissance, prénoms, sexe, date et lieu de naissance) et un identifiant unique de santé, le NIR (numéro d'inscription au répertoire). Ces éléments caractérisent de façon unique et permanente chaque usager tout au long de sa vie, contrairement à un identifiant local qui peut changer et qui diffère entre deux systèmes d'information », explique le Dr Bruno Gauthier, trésorier de la Société française d'informatique de laboratoire (Sfil) et membre de la task force du Ségur de la biologie.
Jusqu'à aujourd'hui, l'identification d'un usager se faisait avec les informations inscrites sur une pièce...
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