Se connecterNumérisation, clé d'un meilleur pré-analytique ?
Nombre de solutions sont déjà là, pour les médecins, les infirmières, la traçabilité en général, etc. Pour autant, en France, les progrès vers plus de fluidité et d'efficacité dans le pré-analytique semblent lents. Qu'est-ce qui manque ? Au congrès de la SFIL, la réponse semble évidente : un fil rouge entre les solutions, la plupart numériques. Donc une réelle interopérabilité.
Les biologistes n'ont pas le pouvoir d'actionner tous les leviers d'amélioration du pré-analytique. Une partie relève de l'organisation des soins et du numérique en santé au niveau national.
Getty Images/iStockphoto - Bet_NoireLa Sécurité sociale exige des biologistes qu'ils coutent toujours moins cher, que leur productivité s'améliore encore pour pouvoir payer les actes toujours moins. Sauf que les marges de manœuvre se restreignent : l'automatisation et l'optimisation sont déjà importantes.
Alors, quels leviers reste-t-il ?
Réduire les prescriptions et numériser le pré-analytique ont été les principales réponses envisagées lors du dernier congrès de la Société française d'informatique de laboratoire (SFIL).
Dans cet article, nous balayerons le sujet à travers 3 questions structurantes :
Les biologistes peuvent-ils encore s'améliorer sur le pré-analytique ?
Peuvent-ils devenir des leviers pour des prescriptions plus justes, plus efficaces, plus efficients ?
Peuvent-ils réellement peser sur la maitrise médicalisée ?
Dans le périmètre du laboratoire
Aujourd'hui, pour un...
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